La quatrième de couverture se veut sincère, violente et impudique : « Désormais ma vie ne m’appartenait plus. Je n’étais plus qu’un creux, un vide, un néant. Désormais j’étais mère». Et nous, modestes lectrices du style sans faille d’Eliette Abécassis, désormais nous étions conscientes d’une manipulation qui s’opère dans l’ombre d’une société bien-pensante. Cette société-là fabrique une idéologie de toutes pièces qui a la cote : la maternité est un « heureux événement ». Personne ne doit contredire l’idéologie ancestrale, et surtout pas une mère…(Lire la suite de ma critique d'Un Heureux Evénement d'Eliette Abécassis sur Mediacult : http://www.mediacult.fr/2011/05/09/eliette-abecassis-une-mere-subversive/ )