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 Le dimanche de matin à des heures indécentes, la rue de Verneuil te fait des avances. Les yeux doux. Du style : « ça fait longtemps que tu n'es pas venue faire un tour devant mon bel hôtel particulier jeune fille ». Bête et disciplinée, et surtout amourachée de l'adresse depuis belle lurette, voilà comment la jeune fille se plante devant les murs plus tout à fait blanc du 5 rue de Verneuil. Enfin essaye de se planter parce qu'un troupeau de touristes squattent la rue, mitraille la façade célèbre et me gêne accessoirement. Exit les touristes, j'enclenche l'Anamour et je mitraille à mon tour les nouveaux dessins, hommages, mots laissés au regretté locataire de l'endroit.

Sélection pour le plaisir des yeux et des mots...

 

Au cinquante-six, sept, huit, peu importe...
Au cinquante-six, sept, huit, peu importe...
Au cinquante-six, sept, huit, peu importe...
Au cinquante-six, sept, huit, peu importe...
Au cinquante-six, sept, huit, peu importe...
Au cinquante-six, sept, huit, peu importe...
Au cinquante-six, sept, huit, peu importe...
Au cinquante-six, sept, huit, peu importe...
Au cinquante-six, sept, huit, peu importe...
Au cinquante-six, sept, huit, peu importe...
Tag(s) : #Musique, #Paris, #Gainsbourg, #Verneuil, #chanson française
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