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La vidéo circule à toute vitesse sur la toile. Les chaussures du journaliste irakien,
Mountazer Al Saïdi ont, quant à elles, voltigé à toute vitesse en direction de George Bush. L'ex-président des États Unis a esquivé avec brio à l'envoi de chaussures. Il a ensuite plaisanté:
"Tout ce que je peux vous dire, c'est que c'était du 43".
Drôle de "guy", ce George Bush. Huit ans à la Maison Blanche, deux guerres à son actif, un bretzel en travers de la gorge, des armes de destructions massives introuvables, des bourdes digne de Charlot. Ajouter à cela la haine de l'Europe et du monde arabe à son égard et vous obtenez un beau palmarès pour un président des États Unis.
"Voici un cadeau des irakiens. C'est le baiser de l'adieu, espèce de chien. De la part des veuves, des orphelins et de tous ceux qui ont été tué en Irak". Bush a évité avec habilité les deux chaussures du journalistes irakien, hélas, les civils irakiens et afghans n'ont pas eu cet chance de pouvoir éviter les attaques de l'ennemi américain. L'attaque à la chaussure fait sourire du côté occident mais c'est négliger la symbolique d'un tel geste dans les terres orientales...
Le monde arabe ne badine pas avec les pompes. A la mosquée: "Prière de se déchausser avant d'entrer". Les babouches c'est fort confortables, mais les babouches dans la figure c'est un geste fort. Signe d'un mépris extrême, ce geste fut, ici, associé à l'insulte suprême dans le monde arabe: "chien". Mountazer Al Saïdi se voit, aujourd'hui, élever au rang de héros national, voire héros du monde musulman, pour avoir jeté tout son mépris sur un assassin des temps moderne. Réalisant le rêve de tout un peuple, celui de "l'axe du mal", il a osé se rebeller, au risque de se faire descendre par les agents chargés de protéger Mister Bush.
La peine est lourde pour le lancer de pompe: 14 ans. 14 ans de prison pour avoir voulu s'en prendre, à coup de chaussures, à la tête de turc international. Et les millions d'internautes qui manifestent leur mauvaise humeur ou tout simplement qui testent leur agilité avec des jeux stupides, ils risquent quoi? L'adieu en grande pompe de l'ex-président américain au sol irakien se clôt sur une touche d'humour, après six ans d'un conflit inacceptable... Bush fait ses adieux à la terre qu'il a ruiné, hélas, aucun char, ni missile ne semblent dire adieu aux peuples irakiens...
Drôle de "guy", ce George Bush. Huit ans à la Maison Blanche, deux guerres à son actif, un bretzel en travers de la gorge, des armes de destructions massives introuvables, des bourdes digne de Charlot. Ajouter à cela la haine de l'Europe et du monde arabe à son égard et vous obtenez un beau palmarès pour un président des États Unis.
"Voici un cadeau des irakiens. C'est le baiser de l'adieu, espèce de chien. De la part des veuves, des orphelins et de tous ceux qui ont été tué en Irak". Bush a évité avec habilité les deux chaussures du journalistes irakien, hélas, les civils irakiens et afghans n'ont pas eu cet chance de pouvoir éviter les attaques de l'ennemi américain. L'attaque à la chaussure fait sourire du côté occident mais c'est négliger la symbolique d'un tel geste dans les terres orientales...
Le monde arabe ne badine pas avec les pompes. A la mosquée: "Prière de se déchausser avant d'entrer". Les babouches c'est fort confortables, mais les babouches dans la figure c'est un geste fort. Signe d'un mépris extrême, ce geste fut, ici, associé à l'insulte suprême dans le monde arabe: "chien". Mountazer Al Saïdi se voit, aujourd'hui, élever au rang de héros national, voire héros du monde musulman, pour avoir jeté tout son mépris sur un assassin des temps moderne. Réalisant le rêve de tout un peuple, celui de "l'axe du mal", il a osé se rebeller, au risque de se faire descendre par les agents chargés de protéger Mister Bush.
La peine est lourde pour le lancer de pompe: 14 ans. 14 ans de prison pour avoir voulu s'en prendre, à coup de chaussures, à la tête de turc international. Et les millions d'internautes qui manifestent leur mauvaise humeur ou tout simplement qui testent leur agilité avec des jeux stupides, ils risquent quoi? L'adieu en grande pompe de l'ex-président américain au sol irakien se clôt sur une touche d'humour, après six ans d'un conflit inacceptable... Bush fait ses adieux à la terre qu'il a ruiné, hélas, aucun char, ni missile ne semblent dire adieu aux peuples irakiens...